• jibaku shounen hanako-kun 

    Bonjour à tous ! 

    Le mois de juillet touche bientôt à sa fin, il est donc temps de faire le bilan de mes découvertes du mois ! Il s'annonce plus court que celui du mois de juin mais bon, j'ai été très occupée-  glandé comme pas possible et profité de la mer. Et puis, j'ai déjà dédié un article à deux de mes découvertes, ce qui réduit considérablement la substance de cet article. Mais comme on dit, ce n'est pas la taille qui importe : il est donc temps de passer aux hostilités ! 

    Les séries 

    • La casa de papel

    Pour ceux qui ne connaissent pas encore, La casa de papel est une série racontant comment une équipe de criminels arrive à braquer la fabrique de monnaie d'Espagne, et à s'en sortir sans faire de morts. La saison 3, sortie ce 19 juillet, commence quand un des criminels de la saison précédente se faire capturer par les forces de l'ordre, et le plan élaboré par les autres pour le récupérer. Je n'ai pas actuellement fini la série, mais pour le moment, c'est aussi bon que les parties précédentes - certes, ce n'est pas non plus excellentissime ou parfait - ce n'est pas ce qu'on lui demande. Disons que c'est un peu comme un paquet de chips : ce n'est pas du caviar, mais ça fait plaisir et c'est difficile d'arrêter d'en manger avant d'avoir fini le paquet une fois qu'on a mis le nez dedans. 

    • Stranger Things (encore)

    Je dis encore car j'en ai déjà parlé dans le compte rendu précédent - mais la saison 3 est sorti entre temps. Ce n'était pas aussi bien que les saisons précédentes : l'écriture de certains personnages était moins bonne à mon sens (dédicace à Hopper et à Will) et il m'a semblé que la série faisait parfois dans la facilité. Cependant, certains moments sont très plaisants : j'aime beaucoup les dynamiques des groupes de la saison, comme celle entre Dustin-Steve-Robin, Murray-Alexei ou Max et Eleven. J'attends la saison 4, en espérant qu'elle n'épuise pas trop le concept. 

    Les livres

    • La croisée des mondes - Les royaumes du nord 

    Je l'avais déjà lu quand j'étais plus petite, mais cet été me laisse tout le temps de redécouvrir les livres de La croisée des mondes (His Dark Materials en vo) de Philip Pullman. On y suit les aventures de Lyra, qui a pour objectif de partir dans le nord, afin de découvrir ce qu'est la poussière ainsi que de sauver des enfants qui ont été kidnappés en amenés là-bas. La trilogie est encore au cœur de l'actualité, puisqu'une nouvelle trilogie est en cours de publication (le premier tome est sorti en 2017) et qu'une adaptation télévisuelle est prévue pour cet automne/hiver par hbo et la bbc. Si la série est recommandée pour les adolescents et les jeunes adultes, il s'agit d'une œuvre très riche qui traite des thèmes philosophiques et de choses de la vie comme le passage à l'âge adulte, la mort, la vie ou la religion, avec de nombres références culturelles - la Bible, John Milton, William Blake, Faust, Byron, Keats, Coleridge…Je n'ai pas encore fini la série, mais je vous recommande vivement la lecture de la trilogie - à condition que vous ne fassiez pas comme moi et ne commenciez pas à la lire avant de dormir, car une fois qu'on est dedans, il est difficile de lâcher le livre ! 

    Jibaku Shounen Hanako-kun

    Les animes 

    • L'attaque des titans 

    Bien qu'édité dans nos contrées dans la catégorie seinen à cause de son contenu violent et graphique, L'attaque des titans (Shingeki no Kyojin en vo) est un manga shonen qui nous présente un monde où l'humanité en est réduite à vivre parquée derrière des murs. En effet, rôde dehors une menace : les titans, sortes de créatures humanoïdes gigantesques, qui se nourrissent des hommes. On y suit l'histoire d'Eren Jäger et du bataillon d'exploration ; mais plus globalement, la série nous montre comment l'humanité essaie de comprendre l'apparition et le fonctionnement des titans afin de pouvoir regagner son territoire. Bien que je découvre cela après tout le monde, j'ai bien aimé le côté psychologique de la série et comment les personnages élaborent des stratégies afin de s'en sortir dans des situations périlleuses.

    • Jojo's Bizarre Adventure 

    Je ne sais pas vous, mais moi, ça fait des années que j'entends parler de Jojo's Bizarre Adventure, et pourtant… Avant de commencer l'anime, je n'avais pas la moindre idée de ce dont cela pouvait parler. Portant, le titre est assez explicite : on y suit les aventures des membres de la lignée des Joestar - qui portent tous, de manière très pratique, un nom pouvant être abrégé en Jojo. Pour ce que j'en ai vu, ils semblent tous maîtriser l'onde, une capacité qui leur permet de contrôler l'eau. Ce shonen reprends tous les codes du genre et les amplifie jusqu'à l'absurde, ce qui en fait une série à mi-chemin entre l'épique et le burlesque. Je ne pensais pas du tout que j'accrocherais, mais c'est vraiment très drôle à regarder ! Si vous avez un abonnement adn et (beaucoup) de temps devant vous, je vous conseille vivement de vous pencher sur ce classique du genre.

    • Psycho-Pass

    Et si l'on vivait dans un monde où la dangerosité supposée d'un individu pour la société était évaluée en permanence par les forces de l'ordre, et où les gens étaient arrêtés avant même qu'ils commettent un crime ? C'est la question que pose Psycho-Pass, qui nous projette dans un Japon futuriste imaginé : le pays, devenu auto-suffisant, s'est totalement renfermé sur lui même et évalue en permanence le mental de ses citoyens grâce au système Sybil. Au-delà d'appréhender les futurs criminels (à la Minority Report), le système permet également de déterminer quelles carrières et quels choix doivent faire les citoyens pour pouvoir s'épanouir et être utiles à la société. Ainsi, la jeune Akane se retrouve inspectrice à la SP (sorte de police locale) : si elle avait obtenu tous les ministères, elle a choisi celui de la sécurité publique car elle était la seule que Sybil avait jugé capable de faire le travail dans sa promo. Le travail d'inspecteur consiste à résoudre des enquêtes, mais aussi à veiller sur les exécuteurs, des criminels dormants que Sybil juge capable de réintégrer le système. J'ai bien aimé la première saison, que je trouve bien construite : on y voit les avantages, mais aussi les dangers d'un tel système et comment il peut être accepté par la majorité de la société. Je n'ai pas assez avancé la saison 2 pour me prononcer à son sujet : cette dernière, beaucoup plus violente, me laisse pour le moment stupéfaite quand je repense au ton de la saison 1. Une troisième saison est prévue cet automne - en attendant, le tout est disponible sur Netflix.

    Something about us
    Something about us, prologue

    Les bandes-dessinées 

    • Something about us (Our relationship is...) - corée

    Something about us (aussi parfois traduit Our relationship is) est un webtoon se reprochant du genre japonais du josei dessiné par Lee Yun Ji. Je n'ai lu que les premiers chapitres, j'en parlerai ainsi sans doute plus en détail lorsque j'aurais fini le tout ! On y suit l'histoire de deux amis d'enfance (dont je n'ai pas retenu le nom, je suis désolée, pour ma défense j'ai lu le premier volume en coréen) qui réalisent au fur et à mesure que leur relation et leurs sentiments ont évolué... Ce que j'aime beaucoup dans ce webcomic, c'est son ton : je trouve qu'il prend le temps de montrer les sentiments et de développer les relations entre les différents personnages, d'une manière très juste. On y aborde des sujets tels que l'amour et l'amitié, mais aussi l'absence d'amour et les relations toxiques : une des amies du personnage principal subit un viol conjugal dans les premiers chapitres. Le tout est servi par des dessins très doux, aux couleurs pastels. Celui qui souhaite l'acquérir légalement sans parler coréen pourra acheter les chapitres en anglais sur le site de l'éditeur, Lezhin Comics.

    • Jibaku Shounen Hanako-kun 

    Jibaku Shounen Hanako-kun ou en anglais Toilet-bound Hanako-kun raconte l'histoire d'une jeune fille en quête de romance : un jour, elle décide de s'aventurer dans les toilettes de son école, car on raconte que ces derniers sont hantés... C'est alors qu'elle découvre que l'esprit est en réalité celui d'un jeune garçon ! S'en suivent alors de nombreuses aventures. Le manga, publié en 2014, comprend 9 volumes au Japon et aux US - ce n'est pas encore sorti chez nous, mais la sortie de l'anime, prévue courant 2020, peut nous faire espérer l'arrivée de la licence en France si le succès est au rendez-vous. Je ne saurais que trop vous recommander ce shonen, qui est vraiment sympathique : les graphismes sont très soignés et contribue à l'atmosphère fantastique qui plane autour de l'histoire. Si vous aimez les personnages dynamiques et les histoires de fantômes; foncez sans hésiter ! 

     Pour celles dont j'ai déjà parlé :

    Voilà voilà, je pense avoir fait le tour de mes découvertes de ce mois-ci ! Je n'arrive pas à croire que ça fait déjà presque un mois depuis celui que j'ai publié en Juillet... On se retrouve au mois d'Août, si l'alignement des étoiles le permet ! À plus dans le bus !

    Mrs Swadloon

     

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  • Vers l'autre rive 
    Image issue du film "vers 'lautre rive"

    Bonsoir à tous !

    Nous nous retrouvons aujourd'hui pour un article publié pour le projet Eklabugs, initiative qui regroupe tous les mois des blogueurs autour d'un thème précédemment voté. Cette fois-ci, c'est la nuit qui a séduit. Je ne pensais pas au départ participer au projet, mais j'ai lu sur l'article de présentation de la session quelque-chose comme "Nous avons abordé il y a quelques mois la lumière" : j'ai trouvé ça rigolo, car j'avais participé au projet pour la première fois avec ce blog pour ce thème la, et n'y avait rien soumis par la suite. Je suis le genre de meuf qui adore les effets de cycles, dans le genre, écouter en partant de quelque part le morceau qu'on a écouté en arrivant, récupérer le premier et le dernier journal d'une année scolaire, etc. Ainsi, je vous l'indique tout de suite : je n'ai initialement participé que pour la satisfaction provoquée par l'effet de clôture… Désolée. 

    Personnellement, j'aime bien la nuit : tout ce qu'on y fait ne semble pas avoir la même valeur qu'en journée. La nourriture semble meilleure, aussi. Quoi de mieux qu'un goûter nocturne ? Pour ma part, je n'ai pas encore trouvé. Je ne sais pas ce qui produit cet effet - est à cause de la notion d'interdit ? Ou bien est-ce à cause du côté mystique de la nuit ? Peut-être est-ce un peu des deux ! En tous cas,  si jamais un esprit croise mon chemin, je peux toujours partager mon fromage avec lui, s'il le souhaite. Je vous propose un petit top de mes encas nocturnes, sentez-vous libres d'y ajouter vos goûters préférés et de bien vous brosser les dents après : 

    - des nouilles japonaises 
    - du fromage (avec du pain !)
    - des céréales 
    - des lasagnes 
    - une salade 
    - de la soupe 
    - des gâteaux au chocolat

    Bon, et si j'arrêtais de transformer chaque thème d'Eklabugs en Ôde à la nourriture ? (C'était d'ailleurs le thème de juin, auquel, ironie du sort, je n'ai pas participé). La nuit et son ambiance particulière, c'est aussi un super moment pour aller se balader à la campagne ou au bord de la mer - certes, on y voit rien, mais cela fait partie du plaisir. J'ai tous mes meilleurs souvenirs de promenade la nuit ! C'est aussi le moment de partir un peu dans tous les sens - il y a moins de gens pour nous voir, et il y a la fatigue, ça excuse. 

    Il y a aussi des films et des morceaux qui sont mieux si on les écoute ou regarde la nuit. C'est d'ailleurs le seul moment où j'arrive à regarder des films : la nuit, on attend rien d'autre de moi. Les responsabilités de la journée sont terminées, et je peux donc me plonger dans un programme plus long qu'une série ou un anime ou alors m'enchainer 3 épisodes de série d'affilée, j'hésite. Pour les films que je n'aurais jamais réussi à regarder à un autre moment, je pense à Comment c'est loin ou Vers l'autre rive, qui sont tous des films assez calmes et qu'il est possible de regarder sans sursauter. Pour la musique, j'aime bien des choses comme Cœur de pirate, Gringe, Orelsan ou les Casseur Flowteurs. 

    Bref, cet article devait avoir un sens (à la base) mais il est parti dans toutes les directions sans que je puisse l'en empêcher… Tant pis. Heureusement, on a au moins un fil conducteur. 

    Leurs articles ont sans doute plus de sens que le mien :
    Eyael_ - Projet Eklabugs : Voyage au bout de la nuit 
    Louna.Eriyu - La nuit
    Tsunn - Bataille
    Gaellah - La nuit 
    Ryuu-chan - Une nuit dans le monde de Pokémon

     

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  • Chômage technique

    Juste quelques lignes pour vous informer que demain je donne mon ordinateur au sav et que je pars chez mon père à 300km du dit sav pour entre 2 et 3 semaines… J'aurais un ordinateur mais il chauffe beaucoup (pratique par ces fortes chaleurs) et qui est plus lent du coup je ne peux pas garantir qu'il y aura des articles durant cette période ! Mais je passerai sans doute voir ce que vous faites de beau et vous répondre. Si jamais je poste un article dites vous que je me serais sans doute ébouillanté les cuisses pendant le processus de rédaction

    (Press f to pay respect)

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  • Buzzy Noise

    Bonjour à tous !

    Aujourd'hui, je voudrais vous parler d'une série que j'ai découverte grâce à Ryuu-chan1 : Buzzy Noise (バジーノイズ) de Mutsuki Jun, prépubliée dans le Weekly Big Comic Spirits. Il s'agit d'une série de type Seinen/slice of life/romance plutôt obscure, puisqu'elle n'a pas été publiée en dehors du Japon. D'ailleurs, lorsque l'on fait une recherche google, les seuls liens qui apparaissent sont des liens vers de sites de scantrad, ce que je trouve plutôt triste : l'auteur a d'ailleurs partagé quelques cases de ces traductions avec la légende "on dirait presque un vrai manga" sur Twitter2. Mais, si cette série est accessible via des canaux illégaux pour qui ne parle pas japonais - en espérant qu'un moyen légal de se le procurer arrive un jour dans nos contrées - cela ne veut pas dire que des gens vont la lire pour autant. Pourtant, vous avez plein de bonnes raisons de vous lancer à corps perdu dans Buzzy Noise.

    Buzzy Noise Buzzy Noise

    Comme je l'ai déjà dit, Buzzy Noise est une série de type slice of life. On y suit le quotidien d'Oshio et Kiyosumi, qui se rencontrent plus ou moins par hasard. Les deux sont voisins : Oshio habite au dessus de l'appartement de Kiyosumi, le concierge de l'immeuble, qui se passionne pour la musique et passe le plus clair de son temps libre à en jouer. Son patron, ayant reçu des plaintes à cause du bruit, menace de le mettre dehors si tout ce vacarme ne cesse pas : ce dernier arrête donc de jouer, au plus grand dam d'Oshio, qui adore sa musique. Après avoir littéralement brisé la glace entre eux (elle l'a rejoint dans son appartement en brisant sa vitre), elle lui propose de vivre chez elle.

    Buzzy Noise

    Kiyosumi est un jeune homme plutôt taciturne, qui aime être seul et veut que la musique reste pour lui un passe temps. Apprenant dans un premier temps qu'Oshio est dans une relation, il souhaite la garder à distance : mais Oshio est ce que l'on pourrait appeler une drama queen, qu'il est difficile de garder loin de soi. Bien que bruyante et n'ayant apparemment pas de notion de ce qu'est l'espace vital, elle est quelqu'un de sincère et apprécie tellement la musique de Kiyosumi qu'elle veut la faire découvrir au maximum de gens. C'est un plaisir de suivre l'évolution du duo : ils ont une bonne dynamique, l'histoire et douce et les planches sont très jolies. Bien que l'histoire est en somme-tout ordinaire, on ne s'ennuie pas une seule seconde ! Mon seul regret et que l'accent du Kansai (aussi appelé Kansai ben) des personnages n'a pas pu être retranscrit dans la traduction, mais bon, on ne peut pas tout faire - et puis grâce à moi, vous saurez qu'il est là ! 

     Au final, Buzzy Noise est un de mes slice of life préférés : je lorgnais un moment sur les volumes en japonais de ma soeur, et je suis contente d'avoir désormais accès à cette série. Il n'y a pour le moment que cinq chapitres de disponible (contre 3 volumes au Japon, le quatrième sortant en septembre), mais il me semble que c'est une série dont l'ambiance sied parfaitement aux longues journées de l'été, bien qu'elle se lise très vite. Si vous avez cinq minutes, foncez la découvrir, vous ne le regretterez pas !

    Buzzy Noise

    1 : Bien que tenant un blog exclusivement dédié à Pokémon, Ryuu-chan connait quelques séries plutôt confidentielles chez nous grâce à sa connaissance du japonais. Cet article n'aurait sans doute jamais vu le jour sans elle, alors répétez après moi : "merci Ryuu-chan !". Elle force beaucoup avec, mais c'est pour une bonne cause.

    2 : Merci Ryuu-chan ! (pour la traduction du tweet).

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    3 commentaires
  • An chan no Aan

    Bonjour à tous !

    Aujourd'hui, je voulais vous parler (brièvement) du manga An chan no Aan (あんちゃんのあ~ん en version originale), que je ne connaissais pas encore ce matin en me levant ! Je suis tombée tout à fait par hasard en cherchant des scans coréens de The Promised Neverland afin de vérifier quelque-chose, et je me suis laissée emportée. Car s'il y a un genre de manga que j'aime particulièrement, ce sont les gags en quatre cases, que je trouve très drôle et dont je n'ai pas vraiment réussi à retrouver le style d'humour ailleurs.

    An-chan no Aan signifie littéralement "Le aan de An-chan" : chaque petite histoire nous montre An-chan, la protagoniste qui ne sait rien faire, et son amie Meshi-chan, son parfait opposé. Toutes les deux sont encore étudiantes. L'humour repose généralement sur le fait qu'An-chan fasse une gaffe, et laisse échapper un "Aan" de désespoir à la fin de chaque planche (les deux sons étant d'ailleurs assez proches). Les situations dépeintes sont celles de la vie quotidienne, comme l'école, les sorties après les cours, le ménage...

    An-chan no Aan

    Certaines des situations permettent aussi au lecteur de s'identifier, ce qui permet de créer du comique. Je pense que comme An-chan, beaucoup d'entre nous se sont déjà laissés distraire par une objet longtemps cherché ou oublié et par hasard retrouvé pendant une séance de rangement... Ou nous sommes retrouvés avec une mauvaise note à un examen pour lequel nous avions travaillé très dur, tandis qu'un ami ayant moins essayé a eu une très bonne note.

    An-chan no Aan 

    (Allez, je vous en met un dernier car j'ai souvent eu ce genre de peur idiote au collège et au lycée)

    An-chan no Aan

    Enfin bref, si vous cherchez un manga sans prise de tête, drôle et rafraichissant pour cet été, n'hésitez pas et foncez découvrir An-chan no Aan ! Malheureusement, il n'y a pas a ma connaissance de sortie officielle en anglais ou en français, mais vous pouvez découvrir le titre en anglais sur de nombreux sites internet. Je n'ai pas trouvé de lien en français mais le niveau de langue n'est pas très élevé, c'est donc relativement accessible pour qui n'est pas trop mauvais en anglais.

    À bientôt j'espère ! Si jamais vous avez déjà lu des séries similaires, n'hésitez pas à me donner des noms en commentaire que j'aille y jeter un oeil ~

    Mrs Swadloon

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  • J'ai été aux Déferlantes et c'est plutôt coolos Bonjour à tous !

    Aujourd'hui je vais vous parler vite fait du festival des Déferlantes d'Argelès, auquel j'ai eu la chance d'aller pas mal de fois maintenant (dont au moins deux fois rien que pour voir Shaka Ponk, un de mes groupes préférés - si vous ne connaissez pas, vous devriez définitivement jeter un coup d'oeil ! En plus, c'est made in France). Avant de commencer, je voudrais m'excuser pour mon choix d'image, qui n'illustre rien du tout : c'est juste que j'ai totalement oublié de prendre des photos.

    Pour ceux qui ne connaissent pas déjà, les Déferlantes est un festival de musique en plein air, qui s'étale sur quatre jours - traditionnellement du vendredi au lundi, ou plutôt au mardi si l'on est un peu tatillon sur les horaires (car les concerts sûrent souvent jusqu'à bien après 1h du matin). La programmation est assez diverse : le festival comporte 4 scènes : les deux principales, qui sont à côté pour que les gens puissent suivre tous les concerts principaux sans bouger; une scène découverte, qui permet de suivre des petits artistes avant que les concerts débutent sur les grandes scènes; et une scène dédiée à des représentations de dj. Le tout tient aussi grâce à une équipe de bénévoles (notamment les parkings et les buvettes), qui font un travail assez usant, notamment sous le climat du sud de la France qui est loin d'être clément avec eux en cette période. Le tout tient aussi grâce à une équipe de bénévoles (notamment les parkings et les buvettes), qui font un travail assez usant, notamment sous le climat du sud de la France qui est loin d'être clément avec eux en cette période (ça cogne vraiment vraiment fort). 

    L'avantage de ce festival, c'est qu'il te fait découvrir les joies de la cohabitation dans un espace restreint (big up aux gens juste devant moi qui ont littéralement agressé tous ceux qui osaient marcher sur leur serviette alors que le festival était blindé), des aléas météorologiques (un seul jour de pluie ce mois-ci, et forcément, il fallait que ça tombe dans le festival) et de la poussière : l'eau de ma douche est sorti marron après une journée sur place. L'an passé, mon copain nous avait d'ailleurs forcé à quitter précipitamment le concert de The Prodigy (rest in peace) à cause d'une crise d'asthme - l'ironie du sort à voulu que notre sortie se face sur une chanson intitulée "Breathe". Malgré ces petits désagréments, il s'agit quand même de quelque-chose de sacrément cool : l'ambiance est vraiment bonne, et surtout, on découvre plein de choses. En effet, la programmation du festival à tendance à programmer des artistes assez différents le même jour - ainsi, nous avons eu la surprise d'apprendre que le samedi, les ZZ Top avaient été programmés le même jour que Zaz et Patrick Bruel (qui sont aussi de très bons artistes, mais bon, ce n'est peut-être pas la première association qui me serait venu à l'esprit). Le dimanche, c'était The B52's et Supertramp qui étaient programmés le même jour que IAM, Therapie Taxi ou encore Gringe (que je n'aurais jamais pensé que ma mère aimerait voir en concert). Globalement, j'ai souvent découvert ou pu voir des artistes que je n'aurais pas pu voir en concert autrement (voir Orelsan et The Prodigy le même jour, c'était vraiment inespéré) pour des prix vraiment attractifs. On peut même se caler ailleurs dans le festival ou venir/partir plus tôt si on a pas envie de tout faire - et vu le nombre de grands noms pour genre 50 boules (Thirty seconds to mars, zztop, macklemore etc), ça vaut vraiment le coup.

    Pour les curieux, vous pouvez jeter un oeil à la programmation de cette année ici.

    Bref, si vous voulez découvrir des ptits trucs sympas, vous éclater en concert et que la poussière ne vous fait pas peur, n'hésitez pas à vous réserver une journée pour aller aux Déferlantes si vous passez dans le sud de la France ! On s'habitue tellement bien que ça me manque quand je n'y vais pas.

    Mrs Swadloon

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